RUPTURE DU CONTRAT D’ASSISTANCE JURIDIQUE AVEC ME NDELA
RETOUR ACTUALITES
Les
conclusions
additionnelles
ont
été
rédigées
par
Me
Négro
KAPITENI
et
Me
Alain
KANGAKOTO
afin
de
compléter
les
conclusions
rédigées
par
Me
Guy
KAPITA
et
Me
Jivet
NDELA
et
après
que
ces
derniers
aient
refusé
catégoriquement
d’apporter
ces
compléments d’informations jugés fondamentaux pour établir le vérité.
Me
Ndela
a
refusé
de
plaider
l’incompétence
du
TGI/kis
pour
de
fallacieux
motifs
comme cela est analysé à la page
‘incompétence TGI”
Non
seulement
Me
Guy
KAPITA
et
Me
Jivet
NDELA
ont
refusé
d’intégrer
ces
informations
dans
leurs
conclusions,
ils
les
ont
remises
sans
en
informer
leur
client,
et
sans
tenir
compte
de
ses
remarques
et
même
de
ses
injonctions
quand
ses
remarques
étaient
ridiculisées.
Il
suffit
de
lire
les
nouvelles
conclusions
additionnelles pour évaluer qui a été ridicule, ou acheté.
De
plus,
sans
en
informer
le
client,
ils
ont
transmis
une
lettre
le
27
juin
et
29
juillet
2019
aux
parties
adverses
pour
que
se
tiennent
les
plaidoiries
le
5
aout,
c’est
à
dire
avec
des
conclusions
qui
devaient
être
vides
de
tout
argument
si
thuarfin
n’était
pas
intervenu et sans fautes de forme dénoncée après l’intervention.
En
effet,
c’est
grâce
à
une
visite
le
2
juillet
à
Me
Fischer
que
l’on
apprendra
que
Me
Kapita
était
en
train
de
préparer
les
conclusions
de
Thaurfin
et
Me
Bombeshay
supposé
préparer
celle
de
JEKA.
Me
Fischer
voulant
connaître
des
détails
de
la
procédure
judiciaire
congolaise
a
été
mis
en
contact
téléphonique
avec
ces
deux
avocats
qui,
en
répondant
aux
questions
de
Me
Fischer,
ont
dévoilé
la
préparation
de
ces
conclusions
comme
le
montre
ces
échanges
WhatsApp
du
17
juillet
avec
Me
Ndela
Sous la contrainte, Me Kapita a transmis les conclusions qu’il avait préparées.
La
stratégie
a
été
le
même
que
celle
utilisée
pour
faire
perdre
l’appel
RCE
3736
du
20
décembre 2018.
Thaurfin
n’aurait
pas
transmis
d’arguments
dans
ses
notes
de
plaidoirie
en
“pensant”
que
JEKA
allait
le
faire,
mais
JEKA
n’en
a
transmise
aucune,
ce
que
les
faits
ont
montré.
Le
scénario
de
la
Cour
d’Appel
allait
se
reproduire,
thèse
annoncée
par
les
échanges
WhatsApp
du
10
juillet.
La
thèse
selon
laquelle
Me
Jivet
Ndela,
Me
Guy
Kapita
et
Me
Bombeshay
se
sont
fait
acheter
par
le
maître
de
la
corruption
semble
être la seule qui puisse expliquer un tel comportement illogique.
Face
à
cette
incohérence,
ces
avocats
sont
contactés
en
permanence
pour
éclairer
des
attitudes
que
ne
faisaient
que
s’assombrir,
jusqu’au
moment
où
Me
Kapita
ne
répondait plus aux appels téléphoniques.
Ces
réalités
sont
relatées
dans
les
échanges
WhatsApp
du
21
juillet
avec
Me
Jivet
Ndela
qui
nous
apprendra
que
c’est
lui-même
qui
a
interdit
à
Me
Kapita
de
répondre
au téléphone. Le ton de son intervention montre bien qui est ce personnage.
Le
contrat
d’assistance
juridique
qui
a
été
interrompu
par
la
lettre
TH-045-19
du
7
aout 2019
communiquée aux différentes parties par le
mail du 9 aout 2019
.
Me
Bombeshay
n’ayant
pas
remis
de
conclusions,
le
cogérant
Johnny
Flament
a
établi
une
procuration
spéciale
à
l’avocat
Me
Michel
BENONI,
cosignataire
de
la
note
relevant
les
faits
bien
documenté
signée
le
19
juin
2019
par
les
4
avocats
présents
à
la séance du 17 juin.
Les
échanges
de
mails
consécutif
à
la
rupture
du
contrat
d’asistance
juridique
avec
Me
Jivet
Ndela
sont
particulièrement
intéresants.
Par
le
mail
du
24
aout
2019,
Me
Jivet
Ndela dévoile la menace exprimée de cette façon :
“
Je
ne
vous
menaces
en
rien.
Mais
je
détiens
simplement
des
preuves
graves
de
vos propos.”
La réponse n’a pas tardé :
“Je
vais
donc
publier
tous
nos
propos
échangés
sur
WhatsApp
et
par
mails
pour
que
tout un chacun puisse les apprécier, mis dans leur contexte.
Notamment
votre
usage
particulier
de
la
langue
française
que
vous
avez
apprise
à
la Sorbonne parait-il.
Je
ne
comprends
d’ailleurs
pas
votre
français
quand
vous
mentionnez
«
Mais
je
détiens simplement des preuves graves de vos propos ».
Sachez
que
je
documente
toujours
mes
assertions,
c’est
ma
formation
scientifique
qui me l’impose.